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Carlos YEMADJEHors ligne

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      Carlos YEMADJE

      il y a 1 an ·

      Dalaï-lama

      Auteur : Carlos Yemadje

      C’était lors d’une vacances dont je suis allée séjourner quelques jours au près d’un de mes amis d’enfance au nord. Ce jour fut le premier jour dont j’ai su que les nordistes savent accueillir leur semblable avec du grand amour. Mon ami lui n’est pas l’un des leurs. Il vit là-bas juste à cause de son n’emploie qui l’a dépaysé. Je fus bien accueilli par les nordistes dont on dirait que c’est eux que je suis allé rendre visite. Bref, je suis bien accueilli et celà me fit comprendre qu’il y a encore des gens qui ont de l’amour du prochain.

      Mon ami aussi m’avait bien accueilli. Il avait aussi au moins montré que nous ne sommes pas différents. La journée, je l’avais bien passé en visitant leur paysage ainsi que les collines. Nous étions restés à bavarder également. Le soir, mon ami avait fait en sorte que nous n’avons pas tarder à manger. Vers 20 heures environ, mon ami se précipita comme s’il allait à quelque part. En effet, c’était le cas. Il se préparait pour sortir.

      _Mais tu vas à quelque part ? Lui avais-je demander

      _Oui, je vais aller suivre le conseil du jour. Me répondit il.

      _Conseil du jour, mais où ça ?

      _Chez Dalaï-lama. Répondit il

      Dalaï lama, me demandais-je intriguer

      _C’est qui ou quoi Dalaï-lama ? Lui avais-je demandé.

      _Un chef religieux.

      _De quelle religion ?

      _Bouddhisme. Me répondit il.

      _Et ce monsieur vit dans notre pays ici ? Lui avais-je demandé.

      _Oui, il est venu séjourner chez les tibétains qui vivent ici depuis des années. Ne parlons plus trop, suis moi et tu verras toi même.

      Je l’ai suivi et nous étions parti. Arrivée là-bas, c’était du monde. Il y avait des jeunes gens comme nous, des grands y compris des petits sous une hall. La personne en question est un homme blanc tibétain vêtu d’un pagne rouge en dessous et un jaune en dessus, assise les pieds croiser devant l’assemblée. La barbe longue sous le menton et portant au cou des grosses perles tout noir. Mon ami avait fait en sorte pour qu’on trouve la place au devant. Nous avions pris siège et attendions à ce que la personne prenne parole. Je me demandais même s’il pouvait s’exprimer en français, puis silence avais-je entendu tout à coup. Il a trois fois réclamé le silence avant de prendre parole. Tout le monde se tait et il commença.

      _Un bossu qui est couché sur le dos savez-vous quoi qui est dans sa bosse ?

      C’était la première phrase qu’il avait prononcé. Je croyais qu’il nous posait la question, mais en jetant un coup d’œil dans mon entourage tout le monde était concentré sur lui. Il a encore répété sa phrase avant de continuer.

      _Un bossu qui est couché sur le dos, savez-vous quoi qui est dans sa bosse ?
      Aucun d’entre vous ne peut le dire. Mais pour le dire de façon simple, je dirai plutôt que ce sont des os des colonnes vertébrale qui se sont arrondi et courbé là, mais en réalité le monde est mystérieux. Est-ce d’abord vraiment possible qu’un bossu couche sur sa bosse ? Sachez qu’il y a aussi de la ruse mes chers. Pour celà, gardez-vous la bouche pour ne pas vous faire tomber sur vous le malheur autrui.

      C’était sous un arbre fruitier qu’un bossu venait se reposer chaque jour pour quémander. C’était un vrai bossu et non un faux déguiser. Chaque fois qu’on le vit sous l’arbre, il est toujours avec deux carafes transparente contenant des araignées. Lorsqu’il vit un passant, il lui demande de l’argent. Les gens de bon cœur lui donnent tandis que les autre passent leur chemin sans broncher mot. Lorsque quelqu’un lui donne, il le remercia, mais dans le cas contraire il met la main dans l’une des carafe et prendre une araignée dont il là met dans la seconde. Dans tout les passants, il y avait un jeune qui lui chercha toujours querelles à chaque fois qu’il passe par là. Mais le malheureux ne lui dire rien et garda toujours son calme.

      Un jour, le jeune garçon est passé. Le bossu lui demanda de l’argent. Au lieux de passer son chemin calmement, il lui répondit :

      _Moi, te donner d’argent à toi qui ne veux rien faire. Penses-tu que je suis un paresseux comme toi ? D’ailleurs quel bossu qui se couche sur le dos ? Tu ne veux pas te gêner pour chercher de l’argent, tu quémande et en plus tu ments.

      Il s’approcha brusquement du bossu et le tire de sa place. Il met la main sur sa bosse pour vérifier si c’est réel. Il vit que c’était du vrai. Alors il regarda sur le sol et vit un trou creuser dans le sol C’était dans ce trou que le bossu mettait sa bosse. Notre jeune le laissa et fit quelques pas pour partir, puis à sa grande surprise il devint courbe. Il ne savait pas pourquoi mais la chose lui obligea. Il envoya la main sur le dos et vit qu’il y a déjà une bosse déjà placer là. Il tourna et vit l’autre qui est déjà libéré de son fardeau. Tout le malheur de l’autre lui est tombé dessus.

      _Maintenant, je peux me forcer pour chercher de l’argent moi aussi. Lui lança l’ancien et parti.

      Après quelques marches, il regarda derrière lui et vit son remplaçant coucher dans sa place gardant ses deux carafes. Il sourit et dit :

      _Ça ne marchera jamais si tu ne connais pas l’énigme des araignées. Dit il avant de prendre complètement congé.

      _Alors mes chers, qui parmi vous qui peut me donner l’énigme des araignées ? Nous demanda dalaï-lama en question.

      À cette question, personne n’ose lever le doigt pour répondre, car personne ne connaissait la réponse.

      _Y a-t-il personne d’entre vous pour me répondre ? Demanda-t-il.

      Un jeune leva le doigt et répondit :

      _C’est parce que les araignées le ressemble, car eux aussi ont la bosse au dos

      _Non, tu as échoué. Répondit le vieux. D’autres personnes ?

      Personne ne leva plus le doigt.

      _Alors comme aucun d’entre vous ne connait l’énigme, je vous le dis moi même.

      L’énigme des araignées est quoi ? Tout esprit malin seront prises au piège comme l’araignée captive les insectes dans sa piège.

      Mais chers, chez les hommes de l’écriture, il est écrit dans leur livre saint :

      Si l’orgueil te pouce à des actes de la folie, et si tu as des mauvaises pensées, mets la main sur la bouche ; car la pression du lait produit de la crème, la pression du nez produit du sang et la pression de la colère produit des querelles.

      Alors, gardez-vous la bouche fermer si vous n’avez rien d’utile à dire. Car ce n’est pas à tout ce que l’on voit qu’il doit répondre. Ne déchargez pas le malheur à quelqu’un et vous le charger. Ce n’est pas vraiment de vous qu’il s’agit, mais plutôt à vos descendants. La bouche est rempli de tout les maux de ce monde. Alors faite vous gaffe. Quand vous voyez quelqu’un quémander, ne le critiquez pas, même s’il est en bonne état et en pleine forme. Vous ne savez pas avec quoi il traine.

      Celui-là, il ne veut pas se gêner pour trouver d’argent, il a la forme et toute la force pour en chercher, mais il préfère quémander. Moi je ne donne pas mon argent à ses gens de personnes. Non les amis, ‘il vous plaît mes chers arrêtez de dire celà. Moi par exemple, j’aime donner. Quand j’en ai je donne. Je donne sans espérer que la personne me récompense ou être reconnaissante envers moi. S’il est reconnaissant tant mieux mais dans le car contraire je m’en fiche. Moi je continue toujours de faire du bien, car tout se récolte après. Si tu fais le bien, ton bien te rattrapera, mais si c’est le mal tu fais, ton mal te rattrapera également. Chacun récolte ce qu’il sème. Aidez le pauvre, donnez au malheur dans les feux même à ceux qui passent chez vous pour demander. C’est du l’aumône et sa récompense est grandement immense et qui vous attend. Moi je veux du bien et non du mal. Si quelqu’un vous demande dans le bon sens, c’est bon pour lui, mais si c’est dans l’intention de vous faire du mal, celà le suivra. Il tombera dans sa propre piège, car c’est un esprit malin. Il vous déchargera d’un poids.

      Alors mes chers, apprenez à faire du bien et surtout gardez vous la bouche fermer, juste pour ne pas vous faire tomber le mal au dessus de vous. Comme il est écrit : Celui qui retient ses paroles connaît la science, et celui qui à l’esprit calme est un homme intelligent.

      Auteur : Carlos Yemadje

      Fin !

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